Sandrine Moreau, Sophrologue vous accueille à Labège
La presse en parle ! « Sandrine Moreau vous offre une bulle de bien-être »
Tout est dit : les bienfaits de la sophrologie, ce qu’on y trouve (la respiration, détentes musculaire et mentale…), la constitution du groupe…j’ajouterai juste de venir avec une tenue confortable, sur place des tapis de sol sont mis à votre disposition.
Participez aux séances sans engagement. La séance est à 10 euros et vous pourrez si vous le souhaitez souscrire à une formule de 10 séances pour 90 euros.
Par séance, les places sont limitées à 10 personnes, réservez vite!
Toutes les occasions sont bonnes pour s’offrir du bien-être
Je remercie le Service Communication de la Mairie de Labège pour cet article.
Ça se passe à 10 kilomètres de Toulouse, à une rue de mon cabinet de sophrologie, dans le village de Labège, « une boîte à livres » est posée là sur une clôture d’une maison individuelle.
Le principe est simple : prenez, lisez, échangez, ramenez…Aucun nom n’est consigné, ni le nom de celui qui dépose ni celui qui prend. Il s’agit d’un échange entre anonymes. Une belle initiative qui permet de donner une nouvelle vie aux livres et de faire confiance.
Certaines municipalités commencent à installer des boites à livres. En 2013, La ville de Bordeaux venait de mettre en place la dixième boîte, et en comptait dix-huit autres, prêtes à être installées.
Le Tour de France 2014 a débuté le 05 juillet. C’est l’occasion de revenir sur la préparation physique et mentale des coureurs. Le cyclisme est un sport qui de plus en plus a recours à la sophrologie.
Adam Bowie via Flickr
Le mental : Il doit être détendu, l’intérieur est calme, apaisé, et ce malgré l’enjeu. La faculté de concentration est tournée vers le présent, sur l’instant. Il n’y a pas de prise en compte du passé, ni de l’avenir. Le coureur doit avoir la capacité d’être enfermé dans une bulle tout en ayant libre accès à l’ensemble des informations extérieures et intérieures.
Le corps : les muscles qui ne sont pas directement impliqués dans l’effort musculaire et qui maintiennent la posture sont à la juste tension. Il doit y avoir de la fluidité, de la souplesse dans les mouvements. Le coureur se fait confiance et n’est pas dans l’analyse. Il est « présent », capable d’accélérer ou d’attendre patiemment si c’est nécessaire, sans se laisser déborder par des émotions ou des pensées négatives.
Le geste signal : plus le coureur avance dans l’âge et plus il a des problèmes d’asthme à l’effort. Le coureur pourra effectuer (travaillé en séance) le geste signal lorsqu’il sent la crise venir. Il se détend automatiquement et repense à tout ce qu’il doit faire pour éviter la crise.
Retrouvez le dossier complet dans Cyclism’Actu, en collaboration avec Laurent Favarel, sophrologue dans le monde du sport. Le cyclisme est un sport qui de plus en plus recourt à la sophrologie