L’été est le moment propice pour se pauser. Pour cela, je vous propose de nous retrouver tous les lundis de juillet pour des séances de groupe de sophro-méditation.
Pendant une heure, nous pratiquerons des exercices de sophrologie suivis d’un moment de méditation.
Vous pourrez en tirer de nombreux bénéfices :
♦ Mieux gérer votre stress
♦ Prendre de la distance avec les pensées parasites et les émotions désagréables (peur, tristesse, colère…)
♦ Apprendre à lâcher prise
♦ Etredavantage bienveillant avec vous-même et votre entourage, vos relations sont plus harmonieuses
♦ Augmenter votre concentration
Les séances se déroulent de 19h à 20h à l’école élémentaire de Labège.
Inscription au 06 20 35 42 63 ou par mail : sandrinemoreau@sophrologie31.net
Aucune tenue particulière ! quant à la posture en méditation, vous pouvez être en lotus ou assis sur une chaise.
Nous sommes fin juillet, vous avez encore le temps de venir faire une pause le lundi de 19h à 20h. C’est l’occasion de vous offrir une parenthèse bienfaisante, d’arrêter d’être dans le mode FAIRE. L’été est la période idéale pour tester ou continuer à pratiquer la méditation.
Pour cela, vous avez juste à :
mettre une tenue confortable
vous rendre à l’école élémentaire de Labège
éteindre votre portable pendant une heure…
Grâce à la méditation :
– Vous améliorez votre concentration
– Chaque fois que vous êtes concentré(e) sur votre ancrage, vous n’habitez plus vos pensées, vous êtes plus apaisé(e)
– Chaque fois que vous réalisez que votre esprit vagabonde, vous êtes de nouveau pleinement conscient(e), pleinement présent(e).
– Chaque fois que vous ne vous jugez pas, quand vous réalisez que vos pensées vous emmènent où bon leur semble, vous expérimentez la bienveillance, plutôt que de vous critiquer. Il vous sera alors plus facile de faire de même dans votre quotidien, quand vous serez face à des situations difficiles.
– Chaque fois que vous notez où vos pensées vous emmènent (dans le passé : »J’ai oublié de rappeler untel ; pourquoi m’a-t-il fait cette remarque ? », dans le futur : « J’appréhende la réunion de demain »,dans l’action : « Il faut que je passe au pressing », dans le jugement : »Je n’arrive pas à me concentrer, mon esprit part dans tous les sens, c’est une catastrophe »), vous vous donnez la possibilité de mieux connaître vos schémas de pensées.
Prendre conscience de vos schémas de pensées habituels, développer une plus grande patience, répondre plutôt que réagir à ce qui vous stresse ou vous perturbe dans votre quotidien, cultiver la bienveillance avec vous-même et avec les autres, voici le formidable défi auquel vous invite la méditation de pleine conscience.
Un grand merci à Clémence Fulleda pour son article dans le journal la Voix du Midi Lauragais.
10% de notre stress est dû à ce qui arrive. Alors que 90% est dû à la façon dont nous PENSONS que cela va arriver.
Et nous avons cette fâcheuse tendance à RUMINER.
On tourne on rond, on repasse indéfiniment le film qui entretient notre état émotionnel.
Quels en sont les avantages : se conforter dans l’idée que nous sommes une victime innocente, éviter de se remettre en question et de changer, penser que le problème vient de l’autre. La rumination est un état de colère, quand nous sommes dans cet état d’ébullition, nous nous sentons puissants, forts, énergiques. « J’ai raison, il a tord ».
Plus nous ruminons une idée négative, plus elle est présente.
Si vous avez envie de :
passer un été zen
stopper les ruminations mentales
prendre du recul
être davantage dans l »‘ici et maintenant »
Je vous propose de me rejoindre lors de séances collectives de méditation de pleine conscience.
Ces séances de groupe auront lieu les lundis de 19h à 20h dans la salle EPS de l’école élémentaire, à Labège village, au tarif de 12 euros.
La pleine conscience s’inspire de la méditation bouddhiste, mais en propose une version « laïque ». Elle permet d’être dans l’instant présent et observer ses pensées et ses
émotions. Guidé par une voix, on apprend à se concentrer sur le souffle, à stopper les ruminations mentales, à n’être « qu’ici et maintenant ». «
(5 lundis : 11 juillet, 18 juillet, 25 juillet, 1er août, 8 août). Possibilité d’assister au nombre de séances que vous souhaitez en fonction de vos disponibilités. Si vous venez envoyer moi juste un sms, un mail, coup de fil…
Offrez-vous en résidentiel deux jours de détente et d’accompagnement
dans un lieu exceptionnel au coeur de la Gascogne Gersoise
à deux pas de Toulouse les 3 et 4 octobre 2015
TESTEZ – DECOUVREZ – PRATIQUEZ
Gestion du stress et des émotions avec la Sophrologie, l’EFT (Emotional Freedom Technics), méditation pleine conscience, massage sonore, massages individuels (shiatsu, ayurvédique, réflexologie plantaire …)
Quatre professionnels du bien-être vous Accompagnent
Sabine Herbin, Julia Jolly, Louis Piras et Sandrine Moreau
Coût du stage : 190€
Le prix comprend l’hébergement d’une nuit au château, ainsi que tous les repas.
« L’humanité se prend trop au sérieux. C’est le péché originel de notre monde.
Si l’homme des cavernes avait su rire, le cours de l’histoire eut été changé. »
Oscar Wilde
Le 3 mai c’est la 17e journée mondiale du rire
La journée mondiale du rire existe depuis 1998… comme les occasions de rire ne sont pas si nombreuses, profitons-en et commençons pas une devinette :
Savez-vous ce que font les Québécois chaque jour pendant 3/4 d’heure ?
– Ils se rendent au travail ?
– Ils sont inquiets à cause de la crise financière internationale ?
– Ils réfléchissent à leur menu du lendemain ?
Bien que tout cela soit possible, la réponse à la question est ailleurs : chaque jour, ils passent plus de 45 minutes à rire !
Un enfant rit en moyenne 300 à 400 fois par jour. L’adulte ne rirait lui que 20 fois par jours. Des études démontrent que les individus laissent de moins en moins de place au rire : 19 minutes en 1939, 6 minutes en 1983 et moins d’une minute aujourd’hui. Des chiffres surprenants surtout lorsqu’on sait que 7% des français prétendent ne pas rire du tout. La tendance est la même à l’échelle mondiale.
Les raisons sont difficiles à expliquer même si les rythmes de vie stressants et les conventions sociales intransigeantes induisent une pression sociale généralisée (carrière professionnelle, compétitivité, rendement, etc.). Selon les médecins, 10 à 15 minutes de rire par jour permettraient pourtant de se maintenir en bonne santé. Concrètement, le rire a des répercussions sur :
La douleur.En distrayant et en réduisant les tensions musculaires, le rire permet d’agir sur la douleur. Il augmente la production de catécholamines, des anti-inflammatoires aux propriétés antidépressives qui agissent comme une morphine naturelle.
Le système immunitaire. En riant, les échanges respiratoires sont 3 fois plus importants qu’à l’état normal. L’organisme reconstitue ainsi ses réserves en oxygène.
Le sommeil : en supprimant les tensions, le rire nous détend et permet de s’endormir plus facilement. Un bon remède contre l’insomnie !
Le stress. Le diaphragme est sollicité et la respiration est régulée lorsqu’on rit. Ainsi les tensions peuvent plus facilement être évacuées. Le rire détend grâce au sentiment de convivialité et d’humour qu’il induit.
L’énergie. Le rire influence l’humeur, nous rendant joyeux et énergiques. Cela peut avoir des répercussions sur notre santé psychique. En riant, l’organisme libère des endorphines qui ont un effet antidépresseur et anxiolytique.
La thérapie par le rire englobe un certain nombre de pratiques. On parlera selon le lieu de rigologie, de rigolothérapie, de yoga du rire, de gélothérapie ou encore de rirothérapie.
En France, la rigologie a été élaborée en 2002 par Corinne Cossero. Elle a fondé L’Ecole Internationale du Rire qui utilise un ensemble de techniques psycho-corporelles d’éducation émotionnelle destiné à stimuler la joie de vivre, l’optimisme, la créativité et d’une manière plus générale la bonne santé mentale, émotionnelle et physique. Ainsi des rigologues sont formés à ces pratiques jusqu’au Canada.
Des études ont montré que le rire intentionnel produit les mêmes effets physiologiques et psychiques que le rire spontané. Ainsi différents outils ont été pensés :
Le yoga du rire. C’est une pratique développée par le Dr Madan Kataria qui affirme que le rire permet de stimuler la sécrétion d’endorphine, l’hormone du bonheur. Le yoga du rire n’utilise pas l’humour pour faire rire. Il fait appel à ce que le Dr Kataria nomme « le rire sans raison », le rire spontané de l’enfant que chaque adulte a en lui mais qu’il refoule la plupart du temps. Une séance type comporte des exercices de rire, d’étirements, de relaxation et de respirations empruntées au yoga.
La Sophrologie Ludique®. Elle a été créée par Claudia Sanchez et Ricardo Lopez en 1985 à la faculté de Sophrologie sociale en Colombie. Elle est une invitation à vivre pleinement son corps et sa conscience à travers une dimension créative offerte par l’aspect ludique et une dimension profonde par la sophrologie caycedienne.
Les jeux. Le jeu renvoie à l’enfant, ce qui prédispose au rire. Il peut s’agir de jeux d’éveil, de coopération, de brise-glace, de détente ou d’expression. Tous permettent de lâcher prise, d’évacuer le stress et d’oublier la peur du ridicule car l’idée est belle et bien de gagner. Il permet aussi de renforcer la cohésion du groupe en créant le contact entre les uns et les autres. Cela instaure aussi un climat de confiance important pour pouvoir se vider l’esprit.
La méditation du rire s’effectue généralement en fin de séance de rire mais elle peut aussi se pratiquer seule. En position allongée, les participants se détendent et laissent émerger ce qu’ils ont en eux, qu’il s’agisse de rires ou de pleurs. La plupart du temps la séance se termine par un fou rire général grâce à un phénomène de contagion. Les tensions physiques et émotionnelles
Le photographe David Ken photographie gratuitement des personnes en train d’éclater de rire et intervient en entreprise pour financer des journées LOL dans les hôpitaux, comme à Necker-Enfants malades. Un « lâcher-prise »qui fait du bien aux enfants malades comme aux soignants.